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Découvrez comment l’abondance peut devenir une réalité pour vous aussi
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Vivez la vie de vos rêves dès aujourd’hui
Les 5 étapes-clés pour vivre l’Abondance
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Si vous viviez pleinement l’Abondance, quelle en seraient les implications ? Qu’est-ce que cela vous permettrait de faire en plus ? Qu’est-ce qui serait différent dans votre vie ? Qu’est-ce que cela vous permettrait d’accomplir ?
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Florence : J’ai déjà essayé de changer, mais à chaque fois ça a été pire qu’avant…
Que recommandez-vpous ?
Merci de tout coeur Gaëlle !
Oui, ça arrive parfois, parce que nous on veut changer, mais notre mental subconscient (notre système de croyances) ne veut pas changer, parce que lui la nouveauté il n’en veut pas, il ne connait pas, c’est insécurisant pour lui. Une des participantes au programme me disait : « mais Gaëlle, ça ne va pas, j’ai commencé le programme il y a un mois et c’est la première fois depuis que je travaille que je suis à découvert ». Tout ça est normal car vous avez envie d’aller de l’avant et votre système de croyances, il veut vous faire croire que ce n’est pas la bonne direction : la preuve, ça va encore plus mal qu’avant.
Mais ce sont juste des résistances qui montrent qu’il y a du ménage à faire dans son système de croyances, et il vaut mieux le faire maintenant plutôt que de réussi à monter un super projet et qu’il échoue à la dernière minute parce qu’on est rattrapé in extremis par notre bon vieux système de croyances… C’est pour ça que j’ai créé une méthode pas à pas, où on peut voir les résistances se manifester en temps et en heure et les traiter comme elles le méritent ;-)
Pourquoi dois-je m’intéresser mon Abondance alors que ce qui m’importe c’est de sortir mes proches de leurs problèmes ?
merci
Votre question est extrêmement pertinente ! Mais je ne sais pas si ma réponse va vous plaire.
Premièrement, vous ne pouvez pas sortir vos proches de leurs difficultés, quelles qu’elles soient (alcool, drogue, jeu, couple, surendettement…) car il n’y a qu’eux qui peuvent prendre cette décision. Ensuite, une fois qu’ils ont pris cette décision, effectivement on peut les aider. En effet, c’est vraiment important de ne pas confondre aider et sauver. On ne peut sauver personne, et on ne peut aider les gens que s’ils demandent de l’aide. Et parfois ils en sont incapables… Je sais que ça peut être triste et douloureux, mais c’est ainsi. Et ce ne sont pas que des paroles en l’air, vous savez : j’ai eu un compagnon qui allait de difficultés en difficultés et plus je lui trouvais des solutions, plus il s’enfonçait. Il a mis fin à ses jours il y a un an et demi maintenant. C’est la même chose à une échelle plus grande : regardez, ça fait 60 ans qu’on fait du social et 45 de l’humanitaire, et pourtant ça n’a rien changé, la misère grandit sans cesse.
On rejoint là ma philosophie profonde, celle que j’enseigne : si on veut vraiment aider les autres, il faut leur montrer l’exemple. C’est à mon avis la seule manière de leur donner envie de s’en sortir. Etre inspirant, en quelque sorte car alors ceux qui nous entourent peuvent se dire : tiens, elle, elle est heureuse, comment fait-elle ? Et si elle est heureuse, alors c’est que moi aussi je peux le devenir. Si vous avez quelqu’un qui meurt de faim à vos côtés, ça ne va pas l’aider de vous laisser mourir de faim à ses côtés. Mais si vous lui montrer qu’on peut se nourrir et que vous l’aidez ensuite à devenir autonome dans sa nourriture, là vous aurez vraiment été utile.
Voilà, j’espère que vous me pardonnerez d’être aussi directe, mais c’est ma façon de penser : j’espère avoir répondu à votre interrogation.
Peux-tu expliquer davantage la notion de « croyance » ? Merci
Rien de religieux ou philosophique. Une croyance est dans mon vocabulaire une interprétation de la réalité qui passe au statut de vérité. Je donne un exemple : je suis un enfant et mon papa rentre du travail fatigué. Je fais donc l’hypothèse suivante : le travail c’est fatiguant. Et si ça se répète souvent, cette hypothèse que j’ai faite je vais finir par croire qu’elle est vraie tout le temps. C’est ce que j’appelle une croyance. Une croyance peut donc être consciente ou subconsciente. Et au bout d’un moment, on ne finit pas voir la réalité qu’à travers le filtre de ces croyances. Autrement dit : la croyance crée l’expérience. Ce sont souvent nos croyances subconscientes qui nous embêtent.
Bonjour Gaëlle, merci pour cette nouvelle vidéo. Mon problème à moi est un peu alternatif : la notion d’abondance ne m’est pas inconnue, ni les mécanismes de la loi d’attraction, mais je la ressens avec une trop forte intensité, et je n’arrive donc pas à la canaliser. Je suis HP, méga-hypersensible et synesthésique. Tout m’est donc renvoyé en résonnance X 1000. Mon corps me parait trop étroit, étouffant, et enfermant par rapport à ce que mon esprit peut créer en matière d’énergie créatrice et il en résulte un immense problème d’ajustement. Ca donne des très hauts et des très bas épuisants à gérer. As-tu des pistes à proposer pour réussir à « recevoir » sans se faire cramer ?
Bonjour Aan, je connais bien ce que tu décris là. Déjà, peut-être que ce serait important de conscientiser que ce que tu ressens n’est qu’une perception : rien ne peut t’être envoyé que tu ne sois pas en mesure de recevoir. Ensuite, accueillir cette hypersensibilité comme un cadeau, qui a un but, un objectif, celle de servir le dessein divin. A toi de trouver de quelle manière : te voir comme un canal destiné à inonder le monde, plutôt que comme un réceptacle qui va te brûler va t’aide à trouver la manière de servir. J’espère que ma réponse t’aide.
Et bien Gaëlle, en cette période de remontée assez ABONDANTE de vieilles mémoires qui tentent encore d’être reines et qui, à ce titre, labourent ma terre printanière (j’ai 72 ans !)… je suis certaine que si je vivais l’Abondance, je serais à même d’accueillir plus vite et telles quelles ces sensations de mal-être sans goûter à l’anxiété annihilante et me servir de leur énergie à bon escient : cela déjà me rendrait beaucoup plus légère (comme je peux le sentir à certains moments), plus ouverte en mon coeur et aux autres (mes miroirs) pour partager cette Joie rencontrée quelque fois et que je sens qui tournicoter et s’élancer en mon UN-T’ES-RIEUR… ce qui évidemment permettrait que je sois plus véritablement Servante de la Vie comme j’aime à le désirer… mais mon côté sombre que j’ai déjà beaucoup aborder au long de ma vie et qui c’est un peu éclairé tout e même, ne lâche pas prise vraiment ! Des moments de désespérance viennent me frôler. Merci pour le retour que ce petit mot peut émettre en toi.
Bonjour Michèle et merci pour ton clin d’oeil plein d’humour. Ce qui pourrait t’aider à garder le cap sans te laisser impacter par tes vieilles mémoires serait de savoir ce que tu veux vraiment vivre, d’avoir ta vision aussi précise qu’une photo comme je l’explique dans ma vidéo. Une fois sa boussole bien ajustée, on n’est plus déstabilisé par rien, ou alors très temporairement, beaucoup plus légèrement. Et dans ces cas-là, ma technique de l’interrupteur, que j’ai partagé récemment dans ma newsletter est très utile ! A bientôt.
En ce qui me concerne, les aléas de la vie ont générés chez moi des angoisses, peurs incontrôlables… A tel point, qu’il suffit parfois d’un seul mot pour enclencher ce processus et l’énorme fatigue qui s’en suit. Comment sortir de ce schéma ? Alors qu’il y a quelques années, j’étais confiante en la vie, toujours gaie et pleine d’énergie et d’entrain… Merci
Bonjour Geneviève, ici je ne vais pas te mentir. Mon programme et mes techniques pourront t’aider mais ce ne sera pas suffisant. Si les angoisses sont trop fortes et les peurs incontrôlables, il est important de se faire accompagner par un professionnel expérimenté.
Ce qui changerait ? TOUT !
Alors je te souhaite de TOUT changer : regarde la vidéo 4 et tu verras que c’est possible !
A votre question Gaëlle je réponds que celà changerait tout. Mais ce tout aujourd’hui je reconnait honnêtement que j’en suis loin depuis quelque temps tout de même. Je manque et comme vous dites je ne vois que celà ; et vous avez raison, c’est d’abord cet état d’esprit que je dois d’abord changer ! il faut commencer par quelque chose qui nous oblige à une prise de conscience de nos fonctionnements profonds et je crois que c’est la première honnêteté envers soi et l’univers.Merci Gaëlle.
Bonjour Sylvia et merci pour ce retour ! C’est déjà une chose merveilleuse de se rendre compte que c’est son état d’esprit que l’on doit changer et d’être honnête avec soi-même. Ce n’est qu’en étant honnête avec soi-même que l’on peut réellement progresser.